Safari en Tanzanie & Zanzibar en 7 jours avec un enfant : itinéraire, conseils, budget

Voyager seul avec son enfant, c’est une expérience à part. Pour cette première parenthèse à deux, j’ai choisi la Tanzanie et Zanzibar, une semaine pile, au rythme de Mattéo (5 ans et demi). Des villages massaïs au Tarangire, des bancs de sable turquoise aux grottes secrètes… On a tout vécu, tout ressenti. Si tu rêves toi aussi d’un safari en Tanzanie et Zanzibar en 7 jours avec un enfant, je te partage ici notre itinéraire complet, avec mes conseils pratiques et mes impressions jour par jour.

J’ai confié l’organisation à Columbus Voyages : j’ai posé mes envies, mes contraintes avec un enfant, et ils se sont occupés de tout, de A à Z (même les formalités). Si tu veux, je te donne ci-dessous toutes les infos pour t’organiser en solo, mais si tu préfères ne pas te prendre la tête, tu peux leur écrire et demander un devis sur-mesure.

Si vous souhaitez rapidement accéder aux différents points de notre article, voici le sommaire :

• Jour 1 - Arrivée Kilimanjaro → Africa Amini Maasai Lodge

• Jour 2 -Village massaï, safari à pied et Tarangire → Maweninga Camp

• Jour 3 - Safari au lever du jour → déjeuner vue savane → route Karatu → Bashay Rift Lodge

• Jour 4 - Vol pour Zanzibar → Quad Kiwengwa → Indigo Beach Zanzibar

• Jour 5 - Nakupenda “Bis” : banc de sable, eau translucide

• Jour 6 - Jozani , Salam Cave, Maalum Cave, Mtende Beach, sunset Michamvi

• Jour 7 - Safari Blue : Menai Bay, Kwale Island, snorkeling, grand baobab, mangrove

• Quand partir en Tanzanie et Zanzibar ?

• Formalités et santé : tout savoir avant de partir

• Déplacements et vols internes

• Budget pour un safari en Tanzanie et Zanzibar

• Pourquoi passer par Columbus Voyages ?

Notre safari en Tanzanie et Zanzibar en 7 jours avec un enfant

Jour 1 — Africa Amini Maasai Lodge : premiers instants avec les Massaïs

Après un long vol de nuit, on a atterri à 1h30 du matin à l’aéroport du Kilimanjaro. Autant dire qu’on était rincés. Mattéo dormait à moitié dans mes bras à la sortie de l’avion, et moi j’étais partagé entre la fatigue et l’excitation. C’était notre première grande aventure, juste lui et moi. On a rejoint le KIA Lodge, situé à seulement cinq minutes de route. Pas de détour inutile, et heureusement, parce qu’à cette heure-là, on n’avait qu’une envie, poser les valises. On s’est écroulés vers 3h du matin après une douche rapide.

Le lendemain, malgré les yeux un peu lourds, l’excitation a vite repris le dessus. À 10h, notre chauffeur est venu nous chercher pour nous emmener au Africa Amini Maasai Lodge, au pied du Kilimandjaro. 40 kilomètres de route, mais 1h30 de trajet sur des pistes cabossées. Mattéo regardait par la fenêtre, intrigué, puis s’est laissé bercer par les secousses. Moi, je savourais déjà ces premiers paysages d’Afrique de l’Est.

En arrivant au lodge, on a eu droit à une scène magique. Devant notre terrasse, des zèbres broutaient tranquillement, et un peu plus loin, des girafes se dessinaient dans la brume. Mattéo s’est exclamé : “Papa, on est en safari !”. Ça m'a donné les frissons...

À l’accueil, on a été plongés directement dans l’ambiance avec une danse traditionnelle massaï. Et puis, une petite mise en scène : on nous a tendu deux verres de ce qu’on nous a présenté comme du sang de vache. J’ai goûté du bout des lèvres, Mattéo me regardait avec des yeux inquiets … jusqu’à ce qu’on nous avoue en riant que ce n’était qu’un sirop d’hibiscus !

Dans l’après-midi, notre guide Justin est venu frapper à la porte de notre chambre. Il nous a proposé de nous habiller comme des Massaïs. Enfiler ces shukas rouges, voir Mattéo se transformer en petit guerrier, c’était déjà un souvenir fort. Et c’était parfait, parce qu’on partait justement visiter un village traditionnel.

Là-bas, on a découvert un mode de vie simple et rude à la fois. Les maisons, petites huttes rondes, sont construites avec un mélange de terre, de boue et de bouse séchée. Pas d’électricité, pas d’eau courante, mais des sourires partout. Les enfants se sont rapprochés de Mattéo, qui s’est mis à jouer avec eux naturellement. Pendant ce temps, Justin nous expliquait les traditions, les rites de passage parfois très durs que doivent traverser les jeunes Massaïs pour devenir adultes.

Un moment marquant : les hommes nous ont proposé d’assister, et même de participer, à l’abattage d’une chèvre, comme ils le font pour leurs repas de fête. J’ai laissé le choix à Mattéo. Contre toute attente, il a dit oui. J’étais partagé, mais il a regardé ça avec un calme étonnant, curieux, presque fasciné par ce rituel. Ensuite, ils ont allumé un feu, découpé la viande et préparé un barbecue. Nous avons partagé ce repas avec eux, entourés de rires et de discussions, avec Justin en traducteur.

En fin de journée, retour au lodge. À 18h, place à une compétition de javelot entre Massaïs. J’ai tenté ma chance, et j’ai découvert à quel point ce n’était pas facile. Mattéo m’encourageait comme si j’étais un champion. La soirée s’est terminée autour du feu, avec les chants et danses massaïs. Pour moi, c’était un retour à des souvenirs vécus au Kenya, mais cette fois, c’était encore plus fort : c’était la première fois que Mattéo vivait ça.

La nuit est tombée, on a dîné sous les étoiles. Fatigués mais heureux, on s’est couchés avec la sensation d’avoir déjà vécu une petite aventure hors du commun. Et ce n’était que le premier jour.

Jour 2 — Parc du Tarangire : premières scènes de safari

Le réveil a sonné tôt, mais Mattéo avait encore l’énergie du décalage et l’excitation du voyage. Cette fois, nous sommes partis visiter un autre village massaï, pour rencontrer une nouvelle famille et découvrir un quotidien différent. Pour y aller, nous avons fait un safari à pied, accompagnés de notre guide. Marcher dans la savane, c’était déjà une aventure en soi. On a même croisé des girafes sur le chemin, ce qui a rendu l’approche du village encore plus magique ! Une fois arrivés, on a pris le temps de discuter avec les habitants, d’écouter leurs histoires et leurs traditions.

En fin de matinée, nous avons pris la route pour le parc national du Tarangire. Trois heures de piste pour parcourir à peine une centaine de kilomètres. On a profité du trajet pour récupérer un peu de sommeil, mais dès l’entrée du parc, toute la fatigue a disparu.

Et là, le Tarangire nous a offert un spectacle inoubliable dès les premières minutes. Éléphants en troupeaux, des dizaines d’entre eux, si proches qu’on entendait leurs pas lourds dans la poussière. Zèbres et girafes défilaient aussi, comme si la savane voulait nous souhaiter la bienvenue. Et puis, en plein après-midi, quatre lionnes ont traversé la piste juste devant nous, indifférentes, majestueuses. Quelques minutes plus tard, un lion solitaire est apparu, couché en plein soleil, nous observant à peine.

On croyait que la journée ne pouvait pas être plus belle, mais le destin en a décidé autrement. On rêvait tous les deux de voir un léopard, l’animal le plus discret de la savane. Et soudain, perché dans un arbre, il était là. Un léopard magnifique, à la fois puissant et élégant. Mattéo, concentré derrière l’appareil photo qu’un ami m’avait prêté, a déclenché à plusieurs reprises. C’était son moment, son trophée. Je le voyais si fier, comme un petit explorateur qui ramenait ses propres preuves de l’aventure.

Le soir, nous avons rejoint le Maweninga Camp, au cœur du parc. Ce camp est perché sur un affleurement rocheux, et nos tentes immenses s’ouvraient sur une vue à couper le souffle. En s’endormant, on entendait au loin des bruits d’animaux. Pour Mattéo, c’était un peu impressionnant, mais surtout excitant. Pour moi, c’était la confirmation que cette aventure allait nous marquer à vie.

Jour 3 — Dernier safari au Tarangire et route vers Karatu

On est partis tôt, à 8h, pour profiter une dernière fois du Tarangire avant de quitter le parc. L’air était encore frais et la lumière du matin donnait une atmosphère particulière à la savane. Mattéo avait déjà l’appareil photo autour du cou, prêt à shooter.

Très vite, la chance nous a encore souri. Cette fois, c’est un guépard qui s’est montré. On savait que c’était rare, alors on est restés silencieux, presque à retenir notre souffle. Mattéo a mitraillé avec son zoom, tout excité, il me répétait qu’il voulait montrer ces photos à ses copains. Plus loin, on est tombés sur deux lions allongés au bord d’une rivière, en pleine chasse. On est restés là presque une heure à les observer, espérant assister à une scène encore plus incroyable. C’était fascinant de voir Mattéo captivé comme ça, concentré, lui qui d’habitude s’impatiente vite.

Vers midi, on s’est arrêtés pour déjeuner au Tarangire Safari Lodge, un restaurant perché avec une vue panoramique sur toute la savane. On a mangé là, c’était vraiment incroyable.

Après le repas, nous avons quitté le parc et pris la route pour Karatu, environ deux heures et demie de trajet. En milieu d’après-midi, nous sommes arrivés au Bashay Rift Lodge, perché sur une colline au milieu de plantations de café. Le temps était parfait et on a tout de suite adoré l’endroit. Le lodge venait d’ouvrir depuis une semaine à peine, et on faisait partie de leurs premiers clients. L’accueil était aux petits soins et les installations flambant neuves.

On a profité de la piscine avec vue sur la vallée du Rift. Mattéo s’est vite trouvé des copains français et ils se sont éclatés tout l’après-midi.

La soirée s’est terminée autour d’un coucher de soleil magnifique sur la vallée, avant un dîner tranquille. Après deux jours intenses de safari, cette pause était bienvenue. Et c’était aussi l’occasion de recharger les batteries avant de s’envoler pour Zanzibar le lendemain.

Jour 4 — Envol pour Zanzibar et première aventure en quad

Le matin du départ, il a fallu dire au revoir à notre guide. Et ça n’a pas été simple. En quelques jours, on avait tissé un vrai lien, surtout Mattéo qui l’adorait. C’est grâce à lui qu’on avait pu observer autant d’animaux de près, qu’on avait eu la chance de voir un léopard, un guépard, des lions… bref, c’est lui qui avait rendu notre safari aussi inoubliable. Les adieux étaient donc compliqués, on avait vraiment l’impression de quitter un ami.

Ensuite, direction l’aéroport pour prendre notre vol interne vers Zanzibar. En une petite heure de trajet, on a changé totalement de décor : on quittait la savane et les plaines tanzaniennes pour retrouver l’océan Indien et ses lagons turquoise. À l’arrivée, un nouveau guide nous attendait pour filer vers Kiwengwa où une activité assez inattendue nous attendait : une excursion en quad.

Pendant trois heures, Mattéo et moi avons sillonné les villages et les terres agricoles de Zanzibar. On traversait des pistes bordées de palmiers, on croisait des enfants souriants qui nous faisaient de grands signes, on passait devant des plantations d’épices, des champs de canne à sucre, des rizières. Mattéo, installé devant moi sur le quad, riait, criait parfois pour que j’accélère, il s’éclatait. On s’est aussi arrêtés dans un village local où il a pu jouer et danser avec d’autres enfants, un vrai moment de partage. Cette excursion, c’était une belle manière de découvrir Zanzibar autrement, en dehors des plages et des circuits touristiques.

Si tu veux vivre la même expérience, tu as deux options : soit tu laisses Columbus Voyages organiser tout ton itinéraire clé en main, soit tu réserves directement l’excursion en quad par toi-même via ce lien. Dans les deux cas, tu vivras exactement ce que nous avons vécu, et crois-moi, ça vaut le coup.

En fin de journée, on a pris la route vers notre hôtel, l’Indigo Beach Zanzibar, situé à l’est de l’île. On ne s’attendait pas à autant de confort. On n’avait pas juste une chambre, mais une villa entière, avec une douche en extérieur qui rappelait l’ambiance de Bali. Et surtout, la plage était à vingt mètres à peine. Mattéo a filé directement vers le sable, pendant que moi je profitais du coucher de soleil qui tombait doucement sur l’océan Indien.

On a terminé la journée par un dîner à l’hôtel, dans une ambiance détendue. Après trois jours intenses en Tanzanie, l’idée de passer les prochains jours entre lagon turquoise et découvertes locales nous faisait déjà rêver.

Jour 5 — Nakupenda “Bis” : le paradis qui disparaît à marée haute

Départ de l’hôtel à 8h30 pour rejoindre Nakupenda Bis, ce banc de sable isolé au large de Stone Town. Le trajet en bateau a pris environ 40 minutes, le temps de longer la côte et de s’éloigner peu à peu vers un décor de carte postale.

À notre arrivée, l’équipage installe un petit abri improvisé, quatre piquets plantés dans le sable avec un grand tissu tendu, histoire de nous donner un coin d’ombre pour le déjeuner. Minimaliste mais efficace, c’était notre “toit” pour la journée.

La matinée, on l’a passée dans l’eau. Eau translucide, snorkeling, poissons colorés… Mattéo s’est amusé à courir partout. Et puis il y a eu ce petit rituel qui a marqué notre expérience : on a passé du temps à sauver les étoiles de mer. Avec la marée qui descendait, certaines restaient coincées hors de l’eau. On les ramassait une par une pour les remettre dans la mer, Mattéo était trop fier de pouvoir les sauver.

Vers midi, notre équipage a préparé un barbecue directement sur le sable. Au menu : poissons frais, calamars, poulpe, homard, thon, le tout accompagné de fruits tropicaux. Assis sous notre toile, les pieds dans le sable, on a savouré ce festin incroyable.

L’après-midi a filé vite. On s’est baignés encore et encore, avant de voir le banc de sable rétrécir peu à peu. Quand la marée est remontée, l’île a commencé à disparaître sous nos yeux, comme si elle n’avait jamais existé. C’est ce côté éphémère qui rend ce lieu si particulier, comme un trésor qu’on ne peut voir que quelques heures par jour.

En repartant, je n’ai pas pu m’empêcher de repenser à un voyage passé, à Madagascar, où j’avais vécu une expérience assez similaire sur une petite île qui n’apparaissait qu’à marée basse. Ce parallèle m’a frappé, et c’est typiquement le genre de souvenirs que j’adore comparer, comme un fil conducteur entre mes voyages.

Si tu veux toi aussi découvrir Nakupenda Bis, tu peux soit inclure cette excursion directement dans ton voyage avec Columbus Voyages, soit la réserver par toi-même via ce lien. Dans tous les cas, tu profiteras de ce banc de sable unique, avec son barbecue de fruits de mer et cette eau turquoise qui paraît irréelle.

Nous sommes rentrés à l’hôtel vers 16h. Mattéo a foncé à la piscine pour retrouver ses copains !

Jour 6 — Le sud de Zanzibar : forêt, tortues et coucher de soleil à Michamvi

On est partis de l’hôtel vers 8h30 pour une grosse journée d’excursion dans le sud de Zanzibar. Première étape : la forêt de Jozani, connue pour ses singes colobes rouges. On a marché sur les sentiers avec notre guide, à scruter les arbres, et très vite un groupe est apparu. Certains descendaient même au sol. Mattéo a eu la chance de marcher à côté d’un singe pendant une dizaine de minutes, comme s’il l’accompagnait tranquillement dans la forêt. Un souvenir fort, simple et magique.

Juste à côté, nous avons traversé les mangroves sur un chemin en bois. Voir ces racines noueuses plonger dans l’eau salée donnait l’impression d’être dans un autre décor. Mattéo s’est amusé à suivre les crabes qui couraient entre les racines.

Ensuite, nous avons découvert la Salaam Cave. On ne savait pas trop à quoi s’attendre, et en descendant, on a découvert des bassins remplis de tortues. Sur le moment, c’était un moment incroyable, surtout pour Mattéo qui les observait avec fascination. Mais en voyant les autres visiteurs, on s’est vite rendu compte que ce n’était pas très éthique. Alors oui, on l’a vécu, c’était beau sur l’instant, mais en toute sincérité ce n’est pas une activité que je recommande pour la préservation des tortues.

Vers midi, on s’est arrêtés au Starfish Restaurant, avec vue directe sur la mer. On a mangé là, tranquillement, avant de descendre passer l’après-midi à la splendide Mtende Beach. Une plage à couper le souffle, entourée de falaises, avec une eau turquoise. On y a passé une partie de l’après-midi, puis la marée est remontée et il a fallu partir.

Ensuite, nous avons pris la route vers Maalum Cave. C’est une grotte à ciel ouvert remplie d’une eau turquoise et claire, un peu comme un cénote au Mexique. On y a nagé tous les deux, masques et tubas vissés sur le visage, et c’était assez incroyable de faire du snorkeling dans un cadre aussi insolite. Flotter dans cette eau protégée, entourés de parois rocheuses, donnait l’impression d’être coupés du monde. Mattéo s’est régalé, et c’est un souvenir qui restera vraiment à part dans notre voyage.

La journée s’est terminée à Michamvi, pour un coucher de soleil qui restera gravé. On a commencé par jouer au foot sur la plage, juste tous les deux, puis Mattéo s’est trouvé une bande de copains et s’est joint à eux. On a ensuite partagé un repas face au soleil couchant, avec musique, spectacle et une ambiance festive. L’endroit mélangeait détente et énergie, parfait pour finir cette journée riche.

Si tu veux vivre la même aventure dans le sud de Zanzibar, forêt de Jozani, mangrove, baignade à Maalum Cave et coucher de soleil à Michamvi, tu peux soit passer par Columbus Voyages qui organise tout sur mesure, soit réserver par toi-même via ce lien.

On est rentrés à l’hôtel vers 20h, fatigués mais avec la sensation d’avoir vécu l’une des plus belles journées de notre séjour à Zanzibar.

Jour 7 — Safari Blue : snorkeling, baobab géant et baptême de jet-ski

Dernière grande excursion du voyage, et pas des moindres : le Safari Blue. On est partis tôt pour rejoindre Fumba, au sud-ouest de l’île, d’où partent les bateaux traditionnels en bois, les dhows. À bord, l’ambiance était détendue, les guides souriants, et déjà l’excitation montait.

Premier arrêt : un banc de sable qui n’apparaît qu’à marée basse, perdu au milieu de la baie de Menai. Avec Mattéo, on s’est amusés à courir de partout, à observer les crabes et à leur courir après. Un vrai moment de jeu et de liberté, au milieu de ce décor incroyable.

Puis ce fut le moment fort de la matinée : le snorkeling. On a plongé dans une eau limpide, entourés par des centaines de poissons colorés. Mattéo, qui avait déjà l’habitude de faire du masque et tuba avec moi lors de nos autres voyages, s’est éclaté. C’était fascinant de voir son émerveillement à chaque poisson qui passait devant lui.

Vers midi, on a accosté sur Kwale Island, où un barbecue nous attendait. Homard, poulpe, calamars, thon, fruits tropicaux… un vrai festin partagé sur la plage. Après le repas, le guide nous a emmenés voir le grand baobab de l’île. Un arbre immense, probablement vieux de plusieurs siècles. On a même pu grimper dessus et goûter son fruit, au goût acidulé.

L’après-midi a réservé une surprise pour Mattéo : son baptême de jet-ski. Dix minutes à pleine vitesse, sans gilet, sans lunettes, à l’africaine… On riait tellement qu’on en avait les yeux pleins d’eau salée. C’était une expérience à la fois drôle, imprévue et inoubliable.

Pour finir, on a embarqué de nouveau pour explorer les mangroves. Le dhow s’est faufilé entre les racines, puis on a pu se baigner dans une eau étonnamment chaude et calme. C’était une manière parfaite de clore la journée.

Si toi aussi tu veux découvrir le Safari Blue, tu peux l’intégrer dans ton séjour via Columbus Voyages, ou le réserver directement par toi-même via ce lien. Dans les deux cas, c’est l’une des plus belles expériences à vivre à Zanzibar.

En fin d’après-midi, retour à l’hôtel. Mattéo a profité encore un peu de la piscine avec ses copains, comme pour prolonger les derniers instants. La nuit tombait, et je savais que notre aventure touchait à sa fin.

Safari Tanzanie Zanzibar 7 jours avec un enfant : conseils pratiques

Quand partir

La Tanzanie et Zanzibar se visitent presque toute l’année, mais la période idéale dépend de ce que tu veux vivre.

• Pour un safari : les mois de juin à octobre sont parfaits. C’est la saison sèche, les animaux se regroupent autour des points d’eau, donc tu as beaucoup plus de chances d’en voir. Le ciel est souvent dégagé et les routes sont plus praticables.

• Pour Zanzibar : l’île est agréable toute l’année, mais attention aux saisons des pluies. Elles tombent surtout en avril-mai et en novembre. Le reste du temps, tu profites de belles journées ensoleillées, avec une mer chaude et transparente.

• Pour un combo safari + plage : le mieux est de viser juillet à octobre, ou janvier-février. C’est la période idéale pour enchaîner les deux sans risquer la pluie.

De notre côté, on est partis en août et c’était vraiment le bon choix : des journées ensoleillées, un safari incroyable sans galère météo, et une mer turquoise à Zanzibar.

Formalités & santé

• Visa obligatoire

  • Demande en ligne sur le site officiel : https://eservices.immigration.go.tz/visa

  • E-visa touristique valable 90 jours

  • Coût : environ 50 $ US

  • À faire au moins 2 semaines avant le départ

  • Reçu par mail, à présenter à l’arrivée

  • 👉 Columbus Voyages peut s’occuper de la demande si tu ne veux pas gérer

  
  

• Passeport

  • Doit être valable 6 mois après la date de retour

  • Prévoir au moins 2 pages vierges

  
  

• Vaccins

  • Obligatoire : fièvre jaune (uniquement si tu viens d’un pays à risque)

  • Recommandés : Hépatite A, Typhoïde, Rage (en fonction de la durée et du type de voyage)

  • Vérifier aussi tes rappels de vaccins classiques (DT-polio, hépatite B)

  
  

• Paludisme

  • Risque présent, surtout en safari et zones rurales

  • Traitement préventif conseillé → voir avec ton médecin ou un centre de vaccination

  • Prends en plus un bon répulsif anti-moustiques tropical

  
  

• Assurance voyage

  • Indispensable (consultations, rapatriement, hospitalisation peuvent coûter très cher)

  • Columbus Voyages inclut une solution clé en main

  • Je te recommande personnellement l’assurance Heymondo, qui offre des formules adaptées aux séjours en Tanzanie et à Zanzibar

  
  

• Trousse santé utile

  • Anti-moustiques tropical puissant

  • Crème solaire + après-soleil

  • Pansements, désinfectant

  • Médicaments de base (paracétamol, ibuprofène)

  • Anti-diarrhéique (très utile en voyage)

  • Gel hydroalcoolique

  • 👉 Pour aller plus loin, j’ai rédigé un guide complet : Bien choisir sa trousse de secours

Déplacements & vols internes

• Vol international

  • Depuis la France, tu arrives généralement à l’aéroport international du Kilimanjaro (JRO) si tu commences par le safari.

  • Pour Zanzibar, certains vols internationaux atterrissent directement à Stone Town (ZNZ), mais la plupart passent par Dar es-Salaam ou Kilimanjaro.

  
  

• Vols internes

  • Pour passer de la Tanzanie à Zanzibar, tu as plusieurs options de compagnies locales (Precision Air, Air Tanzania, Coastal Aviation…).

  • Le vol dure environ 1h à 1h30.

  • 👉 Columbus Voyages peut réserver directement ces vols internes dans ton itinéraire, ce qui t’évite la moindre galère.

  
  

• Transferts en Tanzanie

  • Sur place, les trajets entre les parcs et les lodges se font en 4x4 avec chauffeur-guide.

  • Les routes peuvent être longues et chaotiques : compte parfois 3 à 4h pour 100 km.

  • C’est aussi ça qui fait partie de l’expérience safari.

  
  

• Transferts à Zanzibar

  • À l’arrivée à Stone Town, ton hôtel organise généralement le transfert.

  • Columbus Voyages inclut ces trajets dans ses séjours pour que tout soit fluide du début à la fin.

Réserver ses vols et sa voiture de location

De notre côté, on passe toujours par Expedia pour réserver nos vols et, quand c’est nécessaire, une voiture de location. C’est simple, pratique et souvent plus avantageux que de multiplier les recherches ailleurs. Leurs filtres permettent de comparer rapidement les options selon tes critères et ton budget. Si tu veux une solution efficace pour préparer tes trajets en Tanzanie ou à Zanzibar, tu peux réserver directement via Expedia.fr.

Budget (indicatif)

Parler de budget pour un voyage en Tanzanie et à Zanzibar n’a pas vraiment de sens si on ne précise pas le contexte. Tout dépend de la durée du séjour, du nombre de personnes, du choix des lodges ou hôtels, de la période à laquelle tu pars, et des activités que tu décides d’ajouter (safaris, excursions en quad, plongée, etc.).

Pour donner un ordre d’idée, il faut compter à partir de 5 000 à 6 000 € pour un séjour d’une semaine à dix jours pour deux personnes, vols compris. Mais ce n’est qu’une estimation de base : en fonction des hébergements, des options choisies et des extras, la note peut vite grimper.

Ce budget inclut en général les vols internationaux et internes, les transferts et safaris en 4x4 privé avec chauffeur-guide, les nuits en lodges (souvent en pension complète côté safari, et plutôt demi-pension ou petit-déjeuner à Zanzibar), ainsi que certaines excursions.

C’est justement là que passer par Columbus Voyages prend tout son sens : l’agence construit un voyage 100% sur-mesure en fonction de tes envies et de ton budget. Ils s’occupent absolument de tout, de la logistique aux formalités, et leur réactivité est un vrai plus quand on prépare un voyage aussi dense. Le mieux reste donc de demander un devis personnalisé : c’est gratuit, et ça permet d’avoir une idée claire et réaliste du budget à prévoir pour ton propre projet.

Où dormir — nos retours rapides

• KIA Lodge (Kilimanjaro) — À 5 min de l’aéroport, sauve la nuit d’arrivée.

• Africa Amini Maasai Lodge — Immersion, danses, ateliers, esprit village, vraie rencontre.

• Maweninga Camp (Tarangire) — Tentes immenses sur les rochers, vue carte postale, bruits de savane la nuit.

• Bashay Rift Lodge (Karatu) — Plantations de café, piscine, sunset sur le Rift, ambiance douce pour récupérer.

• Indigo Beach Zanzibar (Bwejuu) — Villa, douche extérieure, plage à 20 m, parfait avec un enfant.

Pourquoi passer par  Columbus Voyages ?

Organiser un voyage en Tanzanie et à Zanzibar demande une logistique énorme : les vols internationaux et internes, les transferts parfois compliqués, le choix des lodges, la planification des safaris et des excursions… Tout ça peut vite devenir un casse-tête quand on essaie de le gérer soi-même. C’est exactement là que Columbus Voyages fait la différence.

Pour ce séjour, je leur ai simplement expliqué mes envies et mes contraintes : voyager seul avec mon fils de 5 ans et demi, combiner safari et plage, vivre des expériences locales sans perdre de temps sur la route. Ils se sont occupés de tout, absolument tout : du visa jusqu’aux vols internes, en passant par les chauffeurs, les guides, les lodges, les activités… Je n’ai eu qu’à me laisser porter.

Leur force, c’est le sur-mesure. Pas d’itinéraire figé, mais une proposition adaptée à ton rythme et à ton budget. Leur réactivité est impressionnante : à la moindre question ou au moindre souci, tu as une réponse immédiate. Et surtout, ils te garantissent la sérénité. Tu pars l’esprit libre, en sachant que tout a été pensé pour toi.

Alors oui, on peut organiser seul un voyage en Tanzanie. Mais si tu veux gagner du temps, éviter les galères et profiter d’un séjour parfaitement calibré, je ne peux que te recommander de passer par Columbus Voyages. Un simple devis ne t’engage à rien, et c’est la meilleure façon de voir ce qu’ils peuvent créer pour toi.

Conclusion

Ce voyage en Tanzanie et à Zanzibar restera comme une parenthèse hors du temps. Voir les yeux de Mattéo s’émerveiller devant les éléphants, courir sur un banc de sable au milieu de l’océan ou s’amuser avec des enfants dans un village massaï, c’est ce qui a donné toute la valeur à cette aventure.

Voyager seul avec son enfant, c’est se lancer un défi, mais c’est surtout l’occasion de partager des moments uniques, de créer des souvenirs qui resteront gravés pour toujours. La Tanzanie et Zanzibar offrent ce mélange parfait d’aventure, de rencontres et de détente, une combinaison rare qui marque profondément.

Si je devais retenir une chose de ce voyage, c’est que parfois il suffit de partir, de se lancer, pour vivre des instants qui dépassent tout ce qu’on pouvait imaginer.

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